4 octobre 2009
7
04
/10
/octobre
/2009
23:30
Voilà, c'est la cata : la chasse est ouverte, le climat se réchauffe, avez-vous remarqué comme le mois de septembre et le début de ce mois sont chauds, beaux et secs ? On ne respecte plus rien, on est la prochaine espèce qui va disparaître...
Alors, l'espace d'une journée apprécier des moments de partage en donnant un peu de soi et en recevant des autres. Et puis, réaliser que la roue de la vie tourne, celle qui nous ramène, il y a un an, à l'annonce de cette promesse d'un enfant, enfant qui est là aujourd'hui, endormi dans son hamac.
Le fait ou phénomène de la naissance marque un début qui va décider de la suite. On ne pense plus à un futur possible, mais on se concentre sur le moment présent. On trouve là, une réponse aux questions existencielles : d'où venons-nous ? Quel est le but de notre vie?
Ne plus se dire "j'ai pas le choix" et affronter ses peurs et ses désirs sans attendre des autres qu'ils nous donnent la force dont on a besoin. Mon ami vend sa petite entreprise qui l'étouffe pour tenter sa passion.
J'admire ceux qui, capable de dépasser les normes et convenances sont capables d'inventer leur chemin et qui, à travers leur expérience de vie, nous laisse entrevoir, un instant, des possibles impensables, et qui nous font dire "Pourquoi pas". Parce qu'il y en a qui ose, certains peuvent se dire, je ne suis pas seul, moi aussi je peux le faire.
Sans doute y a-t-il au bout du chemin, une leçon d'espérance à retenir. C'est en tout cas, celle que nous offre les clowns qui en service de pédiatrie improvisent des pitreries qui , dans l'ambiance lourde de l'environnement médical, éloignent le spectre déprimant de la maladie, pour offrir du réconfort et surtout du rire, le rire salvateur qui guérit bien des blessures.
J'ai découvert, "soleil rouge", cette association de clowns qui intervient dans les hôpitaux grenoblois, au hasard de mes pérégrinations sur le net.
Alors, l'espace d'une journée apprécier des moments de partage en donnant un peu de soi et en recevant des autres. Et puis, réaliser que la roue de la vie tourne, celle qui nous ramène, il y a un an, à l'annonce de cette promesse d'un enfant, enfant qui est là aujourd'hui, endormi dans son hamac.
Le fait ou phénomène de la naissance marque un début qui va décider de la suite. On ne pense plus à un futur possible, mais on se concentre sur le moment présent. On trouve là, une réponse aux questions existencielles : d'où venons-nous ? Quel est le but de notre vie?
Ne plus se dire "j'ai pas le choix" et affronter ses peurs et ses désirs sans attendre des autres qu'ils nous donnent la force dont on a besoin. Mon ami vend sa petite entreprise qui l'étouffe pour tenter sa passion.
J'admire ceux qui, capable de dépasser les normes et convenances sont capables d'inventer leur chemin et qui, à travers leur expérience de vie, nous laisse entrevoir, un instant, des possibles impensables, et qui nous font dire "Pourquoi pas". Parce qu'il y en a qui ose, certains peuvent se dire, je ne suis pas seul, moi aussi je peux le faire.
Sans doute y a-t-il au bout du chemin, une leçon d'espérance à retenir. C'est en tout cas, celle que nous offre les clowns qui en service de pédiatrie improvisent des pitreries qui , dans l'ambiance lourde de l'environnement médical, éloignent le spectre déprimant de la maladie, pour offrir du réconfort et surtout du rire, le rire salvateur qui guérit bien des blessures.
J'ai découvert, "soleil rouge", cette association de clowns qui intervient dans les hôpitaux grenoblois, au hasard de mes pérégrinations sur le net.