17 octobre 2009
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Ma soeur a adopté une petite fille en Chine. Ils attendent depuis quatre ans leur deuxième enfant. Elle n'a pas pu s'intéresser à ma grossesse et ne s'intéresse pas davantage à notre bébé. Jalousie, souffrance... Sa petite fille est adorable, mais peut-on oublier les souffrances des traitements contre la stérilité qui n'ont rien donné ? Peut-on accepter ce coup du sort qui dote la petite soeur de ce qu'ils attendaient tant ?
Tout reste dans les non-dits et les faire semblants pour essayer de donner le change. Je n'ai aucune rancune même si ça me blesse qu'elle mette ainsi Elliot, son neveu, sur la touche en l'ignorant.
L'adoption est une démarche longue et difficile. Il faut réussir à faire son deuil de l'enfant naturel pour accueillir l'enfant étranger au couple. les enfants adoptés ont subi le traumatisme de l'abandon, c'est une cicatrice de plus à essayer de soigner.
Un couple est en train d'accomplir le parcours du combattant qui va leur permettre d'adopter un petit russe, Damir. Ils l'ont déjà rencontré, échangés des jeux et des rires sans pouvoir encore le ramener avec eux. J'ai trouvé leur témoignage bouleversant ce qui m'a donné envie de parler un peu de l'adoption qui reste un acte difficile à entreprendre puis à assumer.
http://notre-adoption-en-russie.over-blog.com, voici l'adresse du blog de ce couple qui certainement à l'image de tous les autres couples adoptant en Russie décrivent leur long trajet jusqu'à Damir, si loin géographiquement mais qu'ils portent tous les jours dans leur coeur. Ce qui m'a fait "mal" c'est de constater cet incroyable délai qu'il y a entre la rencontre des parents avec l'enfant et le jour où enfin ils pourront le ramener avec eux. Damir grandit, apprend à marcher... loin d'eux.
On ne peut que les soutenir et leur souhaiter bon courage.
Tout reste dans les non-dits et les faire semblants pour essayer de donner le change. Je n'ai aucune rancune même si ça me blesse qu'elle mette ainsi Elliot, son neveu, sur la touche en l'ignorant.
L'adoption est une démarche longue et difficile. Il faut réussir à faire son deuil de l'enfant naturel pour accueillir l'enfant étranger au couple. les enfants adoptés ont subi le traumatisme de l'abandon, c'est une cicatrice de plus à essayer de soigner.
Un couple est en train d'accomplir le parcours du combattant qui va leur permettre d'adopter un petit russe, Damir. Ils l'ont déjà rencontré, échangés des jeux et des rires sans pouvoir encore le ramener avec eux. J'ai trouvé leur témoignage bouleversant ce qui m'a donné envie de parler un peu de l'adoption qui reste un acte difficile à entreprendre puis à assumer.
http://notre-adoption-en-russie.over-blog.com, voici l'adresse du blog de ce couple qui certainement à l'image de tous les autres couples adoptant en Russie décrivent leur long trajet jusqu'à Damir, si loin géographiquement mais qu'ils portent tous les jours dans leur coeur. Ce qui m'a fait "mal" c'est de constater cet incroyable délai qu'il y a entre la rencontre des parents avec l'enfant et le jour où enfin ils pourront le ramener avec eux. Damir grandit, apprend à marcher... loin d'eux.
On ne peut que les soutenir et leur souhaiter bon courage.